En collaboration avec HOOK UP Productions.

Fidèles à leur soif de liberté, proches des préoccupations actuelles, les Zoufris réussissent mieux que jamais à marier poésie des textes, engagement social, et voyages musicaux exotiques emmenant danser entre  St Germain des Prés, l’Andalousie, les Balkans, l’ Amérique latine et l’Afrique.

Dans un monde musical où règnent désormais en maitre la programmation des machines et les carrières solos, les Zoufris réaffirment eux, à contre-courant, leur choix de l’humain.

L’écologie, la révolte contre les inégalités sociales, la résistance politique, la liberté, la méfiance envers toute institution ¦ sont au centre des thémes de ce disque.

Mais comme à son habitude, le propos  est loin de n’être que social : l’amour, sous toutes ses formes,  y règne en maitre.: des jeux de séduction aux adultéres tragicomiques.

Partir, nous emmener ailleurs, c’est la promesse réussie de ce nouvel album . Si les terres accostées sont nombreuses, le voyage lui-même est collectif et on y entend de nombreuses voix. Outre Vin’s et les musiciens aux choeurs, on se délecte des magnifiques voix féminines invitées pour l’occasion (Luiza Fernandez du groupe Oya et Sabrina xx).D’autres y entendrons peut-être des voix plus imaginaires, celles des parrains involontaires de ce groupe protéiforme : Cesaria Evora, Bonga, Manu Chao, Boris Vian … Le groupe, lui, ne revendique rien ni personne, mais embrasse les vibrations d’ici et d’ailleurs avec allégresse.

Si les influences sont nombreuses, c’est aussi que la famille Zoufris Maracas s’est récemment agrandie. Le groupe de 6 musiciens des premiers disques vient en effet de s’enrichir de 3 nouveaux virtuoses!        « Zoufris Maracas Super Combo », c’est comme cela qu’ils présentent désormais leurs concerts fabuleux, car ce fantastique groupe de scène, festif, drôle et fiévreux, affichent systématiquement complet partout où il passe.

Avec ce nouvel album et la tournée du Super Combo qui démarre, sans parler de l’influence bienveillante de la lune, cette « mauvaise graine » de la chanson française continue à pousser sans tuteur, librement, en arrosant sa curiosité de l’autre et sa passion pour les mélodies lointaines, avec amour, toujours.